Résumé :
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"Ce qui frappe d'abord, à l'entame de la lecture de portraits décalés de Khalifa Touré, dès l'avant-propos, c'est que cet écrivain, qui avoue "sa peur des zones d'ombre, des espaces inconnus chez les hommes", fait lui-même peur à qui ose entreprendre de pénétrer dans ce livre-labyrinthe d'où, seuls quelques rares élus, les "happy few" que disait Stendhal, pourraient émerger avec un reste de souffle.
Khalifa on le sent a la qualité énorme des grands écrivains, philosophes, poètes, dramaturges, et romanciers qu'il a réellement lus, intégralement, et qui, mis ensemble, lui ont conféré le beau style qui est le sien." Tels sont les propos du préfacier qui en quelques mots résument ce livre agréable à lire par sa force poétique et la qualité de sa langue.
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